Congrès mondial de l’ILCN
Conservation de la nature Canada (CNC) est honoré d’avoir été désigné hôte du Congrès mondial du Réseau international pour la conservation des terres (International Land Conservation Network – ILCN), présenté par RBC, qui a eu lieu du 16 au 18 octobre 2024.
Établir des relations pour un monde résilient
Réserve nationale de faune du Cap-Tourmente, QC (Photo Jacques Boissinot)
Le Congrès mondial de l’ILCN 2024, qui s'est tenu près de Cap-Tourmente, aux abords du fleuve Saint-Laurent au Québec, a réuni les principaux organismes de conservation de terres, ainsi que des spécialistes provenant de six continents, afin de renforcer les capacités de cette communauté de pratique en pleine croissance. Sous le thème « Établir des relations pour un monde résilient », le Congrès a accueilli le monde entier au Canada et mis en valeur les réalisations remarquables de notre pays.
Réserve nationale de faune du Cap-Tourmente, QC (Photo Jacques Boissinot)
Le Réseau international pour la conservation des terres réunit une communauté internationale de praticien(ne)s de la conservation de premier plan pour leur permettre de faire progresser leur travail et de renforcer leurs capacités. Les participant(e)s à ce congrès sur invitation seulement ont partagé leur expertise en conservation dans les domaines des finances, des lois et des politiques, de la gouvernance, de l’intendance, des projets à l’échelle des paysages et de la technologie.
À une époque où les impacts des changements climatiques se font sentir de manière plus urgente, il devient de plus en plus important pour la communauté mondiale de la conservation d’adopter une approche concertée pour assurer l’intégrité et la résilience des écosystèmes et des ressources terrestres et aquatiques.
Congrès mondial 2024 de L’ILCN (Photo Jacques Boissinot)
Les ambitieux objectifs en matière de conservation du Canada ne pourront être atteints que grâce à une approche collaborative et inclusive, misant sur les capacités d’un éventail d’intendants de terres, incluant les propriétaires fonciers, les collectivités, les organisations civiques et d’autres intervenants, afin d’entreprendre des actions volontaires, durables et efficaces en matière de conservation des milieux naturels. Les aires protégées privées s’ajoutent aux projets de conservation de terres publiques et à ceux dirigés par les communautés autochtones.
Chef de file en matière de conservation de terres privées au pays, CNC est déterminé à accélérer le rythme de la conservation et à doubler les retombées de son travail au cours des prochaines années, et ce, au bénéfice de l’ensemble de la population canadienne.
